Le Multi-level Marketing

Le terme Marketing de Réseau vient du terme anglais Multi-level Marketing, communément connu sous l’appellation MLM. L’expression « vente multi-niveaux » est un autre nom du MLM. Qu’en est-il de ce concept ? Des entreprises ne vendent pas directement leurs produits aux utilisateurs ou par l’intermédiaire des magasins, mais via M. Tout-le-Monde. Ces personnes recrutées doivent d’abord acheter des produits qu’ils vont revendre. À chaque vente réalisée, elles toucheront un pourcentage. Les clients qu’elles auront touchés pourront à leur tour revendre ces produits et recevront une commission pour leur vente, mais vous aussi par la même occasion. Leurs clients vont faire de même et ainsi de suite. En d’autres mots, c’est un peu du parrainage que vous ferez si vous adhérez au Marketing de Réseau, mais à plusieurs niveaux. Au début, si vous ne parrainez que 5 personnes et que chacune d’elles en parraine aussi 5 qui elles aussi vont en parrainer 5 autres, votre réseau comprendra une bonne centaine de personnes en peu de temps. L’intérêt, c’est que pour chaque vente réalisée par une personne de votre réseau ou dans les niveaux inférieurs au vôtre, vous percevrez une commission sans que vous ayez à faire quoi que ce soit.

Une belle opportunité financière ?

Là où vous devez fournir un vrai travail, c’est pour trouver vos premiers clients, vos filleuls en quelque sorte. Ensuite, vous n’avez plus qu’à récolter les commissions grâce aux ventes que ceux-ci réaliseront. De plus, il n’y a pas de limite au nombre de personnes que vous pouvez recruter et au nombre de personnes que vos filleuls peuvent recruter. C’est du marketing relationnel en réalité. Sur un plan purement théorique, il est possible de se faire beaucoup d’argent avec le Network Marketing. Bien sûr, il faut rester actif pour vraiment dégager un bénéfice avec le MLM. Pour cela, vous devez développer votre discours de vente, prendre le temps de former vos filleuls pour qu’elles puissent vendre efficacement. Si vous pensez avoir des lacunes dans le marketing, vous pouvez prendre des formations pour vous améliorer dans les techniques de persuasion pour vendre, dans le management, etc., pour mieux connaitre les produits que vous vendez. Trouvez aussi ici des conseils pour réussir dans le MLM. Ce dernier peut être une belle opportunité financière pour gagner votre vie tout en restant chez vous et en étant maître de votre temps. Toutefois, vous devez être patient. Comme tout projet d’entrepreneuriat, le MLM nécessite de la persévérance.

La création d’entreprises avec un statut SAS

La création d’une entreprise commence par la rédaction d’un statut juridique. Ce document donne les grandes lignes sur la société. Il est possible de se procurer un modèle de statut pour une SAS en ligne. Vous pouvez notamment obtenir des statuts SAS chez captain contrat. Etudiez-les pour vous en inspirer. Mais si vous avez les moyens, il est préférable de faire appel à un avocat pour la rédaction du statut. Un notaire ou un expert-comptable peut également s’en charger. Cette prestation a un coût. Il faudra prévoir plus d’un millier d’euros.

Les conditions sur la constitution de la société

Deux personnes physiques peuvent constituer une SAS. Il peut y avoir un directeur général et plusieurs adjoints. Le nombre maximal d’actionnaires reste illimité. Les investisseurs peuvent venir ou partir à tout moment. La durée de vie de l’entreprise est de 99 ans. Un contrôle des comptes doit obligatoirement être prévu surtout si la société compte plus de 20 salariés et génère un chiffre d’affaires dépassant les 2 millions d’euros ainsi qu’un bilan d’un million d’euros. Cette tâche administrative est à confier à un commissaire externe. La SAS est soumise à l’imposition sur les sociétés avec une taxe équivalente à 33% de ses bénéfices.

Quelques rappels sur les particularités de cette forme juridique

Le statut SAS ressemble sur certains points à celui d’une SARL. Les démarches pour la constitution sont pratiquement les mêmes. Cela dit, il convient d’imposer quelques règles propres à ce type d’entreprise. Le fondateur devrait par exemple garder la liberté d’adopter les règles de gestion à sa vision. Les autres actionnaires sont considérés à hauteur de leur contribution au capital. Un investisseur disposant d’au moins 10% des actifs a le pouvoir de désigner un commissaire aux comptes.

Des métiers diversifiés

Quand on parle de mode et de luxe, on pense tout de suite à ces designers qui ont un savoir-faire exceptionnel dans la création de robes, dans la maroquinerie… Mais les métiers du luxe et de la mode ne se limitent pas aux métiers de la création pure. Le secteur embauche de nombreuses personnes qui assurent des fonctions plus classiques comme la vente, le marketing, le management, l’événementiel, la communication, etc. C’est donc un univers qui comprend une multitude de professions, entre autres : le chef de produit, le responsable marketing, le chef de projet, le chef de publicité, le négociateur en centrale d’achat, etc.

Avez-vous le profil pour travailler dans cet univers ?

Une bonne dose de motivation et de passion est indispensable pour travailler dans le secteur du luxe et de la mode. L’exigence de cet univers implique également des formations théoriques dispensées par de nombreuses écoles privées, mais aussi des universités. L’accès a l’univers professionnel du luxe et de la mode passe aussi par des stages en entreprise. Pour espérer se faire une place dans ce secteur très envié, il vous faut en effet penser à gravir les échelons un à un. À noter aussi que le succès du luxe et de la mode dépend en grande partie des échanges internationaux. Pour décrocher un entretien et trouver un emploi dans le secteur du luxe, la maîtrise de l’anglais est souvent indispensable. Certains cours se déroulent par ailleurs en anglais afin de mieux préparer les étudiants aux exigences de ce secteur. D’autres langues sont également enseignées en LV2 durant les formations. En effet, les clients de ce secteur sont internationaux et ne parlent pas forcément l’anglais.

Vous devez d’abord vous renseigner

Vous devez d’abord analyser votre situation si une promotion peut être envisageable ou pas. Dans quel but souhaiterez-vous obtenir une promotion ? Quel est votre objectif à long terme au sein de l’entreprise ? Essayez de faire un bilan de vos accomplissements au sein de l’entreprise avec des chiffres et des exemples précis. Maintenant, vous êtes sûr que vous méritez une promotion. Mais comment vous y prendre ? Vous devez d’abord vous renseigner puisque chaque entreprise a une stratégie de gestion de carrières. Vous pouvez alors vous adresser au service ressources humaines pour en savoir davantage sur les dispositifs de mobilité interne. Vous pouvez également interroger vos collègues plus anciens sur leur parcours au sein de la société. Pour faire simple, vous pouvez demander auprès de votre hiérarchie vos perspectives d’évolution à un, deux, trois ans. Demandez ce qu’il faut faire (formation continue à suivre par exemple) pour obtenir le poste en question.

Quand demander votre promotion ?

Maintenant vous savez tout sur votre parcours, vos accomplissements et les dispositifs d’évolution au sein de votre société. Quel est le meilleur moment pour demander une promotion ? Profitez de l’entretien annuel d’évaluation pour exposer votre demande à votre supérieur. Si vous connaissez déjà la hiérarchie entre les différents postes de l’entreprise et ceux auxquels vous pouvez alors prétendre lors d’une demande de promotion, suivez d’abord des formations liées aux compétences et savoir-faire requis. Si au cours de l’année, un poste se libère et que vous pensez être à la hauteur pour l’occuper, demandez immédiatement un entretien auprès du responsable.

Quels intérêts pour l’entreprise ?

L’employeur est en droit de restreindre la liberté de ses employés en matière vestimentaire. Il peut appliquer des restrictions pour conserver l’image de la marque ou de l’entreprise. Il peut imposer un uniforme pour une question de sécurité ou d’hygiène. En tout cas, il doit justifier ses impositions. La justice accorde à l’employé le droit d’exiger une tenue propre et décente. Si un salarié s’obstine à porter des tenues jugées négligées qui nuisent à l’image de l’entreprise, il peut être licencié. L’employeur peut alors lister toutes les tenues considérées comme indécentes comme des bermudas, des tongs, des décolletés trop prononcés, des hauts transparents. En effet, le but n’est pas seulement de préserver l’image de l’entreprise vis-à-vis de la clientèle, mais également de préserver l’ordre au sein de l’entreprise. Un haut transparent peut par exemple causer un trouble au sein de la société.

Une question de sécurité et d’hygiène

Dans ce cas, il ne s’agit pas d’interdire telle ou telle tenue, mais d’imposer un uniforme aux salariés pour une question de sécurité. Il peut s’agir d’une combinaison, d’une blouse, d’un casque ou des chaussures de sécurité qu’il faut porter une fois sur les lieux de travail. Dans ce cas, l’employeur doit mettre ces tenues gratuitement à la disposition des employés.

Y a-t-il une contrepartie à ces obligations ?

Si l’entreprise impose aux salariés de s’habiller et se déshabiller sur les lieux de travail, elle doit donner une contrepartie sous forme financière ou de temps de repos. Si par contre, les salariés peuvent s’habiller et se déshabiller hors de l’entreprise (chez eux par exemple), la contrepartie n’est pas obligatoire. Si ceci n’est pas mentionné dans le contrat de travail, si le travail est insalubre, obligeant le salarié à se changer sur le lieu de travail, la contrepartie doit être due naturellement.

Qui attribue le RSA ?

Le RSA est attribué par la caisse d’allocation familiale ou la caisse de mutualité sociale agricole. Les personnes qui veulent prétendre au RSA doivent faire une demande auprès de ces organismes. Ces derniers n’attribuent pas la même somme à tous les bénéficiaires. La valeur du RSA est calculée en fonction de la situation familiale et des ressources de chaque allocataire. Le RSA s’élève à 536,78€ pour les personnes seules et 805,17 pour les couples sans ressources. Si les allocataires sont en activité, on ajoute 62% des revenus professionnels du foyer à la base forfaitaire. Puis, on soustrait les ressources du foyer. Il y a également une minoration si l’allocataire bénéficie d’une aide au logement.

À qui est attribué le RSA

Le RSA est entré en vigueur le 1er juin 2009 pour remplacer le RMI ou le revenu minimum d’insertion, l’API ou l’allocation parent isolé et la prime de retour à l’emploi. Le RSA est attribué en fonction de l’âge et de la situation familiale du demandeur sous condition de ressources. Les personnes qui peuvent bénéficier du RSA sont :
– les personnes ayant 25 ans et plus, sans activité ou exerçant une activité professionnelle aux revenus limités.
– les personnes de moins de 25 ans dans les mêmes conditions, mais ayant en plus un ou plusieurs enfants à charge et ayant travaillé au moins pendant 2 ans au cours des 3 dernières années.
Cette allocation n’est toutefois pas accessible aux élèves et étudiants, aux personnes en congé parental, en congé de présence parentale, en congé sabbatique ou en congé sans solde.
Enfin, toute personne demandant le RSA doit avoir une résidence stable en France (au moins 9 mois par an).
Pour en savoir plus sur les conditions d’obtention du RSA, vous pouvez vous rendre sur http://www.allocations-info.fr/comment-beneficier-du-rsa/. Vous y trouverez également des informations sur les démarches à faire pour percevoir cette allocation.

Un taux de chômage important

Certaines entreprises augmentent le nombre de personnes handicapées au sein de leur équipe comme il est stipulé par la loi mise en vigueur le 1 janvier 2017. C’est une véritable prouesse à première vue mais c’est une action insuffisante pour les associations qui se battent pour le droit des personnes handicapées dans le monde du travail. Ces dernières avancent que 21% des personnes handicapées et en âge de travailler sont encore dans le chômage soit le double des personnes normales. Les raisons sont tout d’abord à mettre au compte du faible niveau qualification des personnes handicapées et aussi à cause de la discrimination. Par la suite, l’Etat français n’est pas vraiment strict sur la mise en application de la loi puisque une entreprise sur deux honore les quotas prescrits par dans la législation.

Encore des préjugés

Outre le non respect de la loi, ce sont les recruteurs et les dirigeants mêmes des entreprises qui ont d’importants préjugés vis-à-vis des personnes handicapées. Pour la majorité d’entre eux, une personne handicapée peut avant tout donner une mauvaise image à leur enseigne. Par la suite, les personnes handicapées sont souvent considérées comme moins bonnes et peuvent nuire à la productivité des entreprises. Pour ces dernières en effet, les personnes handicapées sont lents, souvent malades et absents. Aux yeux de certains managers, ces individus n’auront pas la capacité de mener à termes un projet qui leur est confié et qu’ils génèrent des coûts supplémentaires pour l’entreprise. Avec autant de préjugés, il est facile de comprendre le non respect des obligations imposées par la loi.

Bénéfices sur la santé des employés

6 heures de travail va considérablement réduire ou supprimer les arrêts maladie. Cette organisation horaire a été expérimentée en Suède au niveau d’un corps médical. Les infirmiers qui travaillent 6 h seulement par jour prenaient deux fois moins d’arrêts maladies que ceux qui travaillent 8 h par jour. Puis, les plages horaires trop denses, à raison de 8 h, augmentent les risques de dépression et donc la grève chez les salariés. Puis, travailler moins permet aux employés d’avoir plus de temps libres et par conséquent d’avoir une mode de vie plus saine. Ils peuvent préparer des repas équilibrés au lieu d’acheter des plats préparés, ils peuvent faire plus d’exercices… Puis, ils auront plus de temps à passer en famille, avec leurs enfants et leurs conjoints. Il n’y a plus de risque que la vie professionnelle interfère sur la vie personnelle et inversement. Puis, il a été prouvé que les salariés sont plus fidèles aux entreprises qui les autorisent à travailler moins.

Bénéfices sur la performance des salariés

Contrairement à ce que l’on pense, travailler moins permet d’être plus productif. Pour preuve, les salariés qui travaillent à raison de 1 400 heures en Allemagne sont plus productifs que les salariés qui travaillent à plus de 2 000 heures en Grèce. Moins on travaille, plus on a de temps libre, plus on est heureux et plus on est énergétique et plus on productif. Beaucoup de dirigeants ont fait le test et la comparaison. 6 h ou 8 h de travail, les salariés effectuent la même quantité de travail. En effet, les salariés se soucient plus des tâches à effectuer plutôt que des horaires à respecter.

Être ponctuel

Arriver à l’heure à votre premier jour de travail diffuse un message positif pour vous dans le bureau. La ponctualité montre votre sérieux et votre fiabilité en tant qu’employé. Il n’y a pas pire que d’arrivée en retard le premier jour. Pour l’éviter, vous devez vous armer de prudence et de vigilance. Vous devez évaluer les différents trajets possibles pour aller au bureau. Par la suite, vous calculerez la durée possible. Cependant, même si vous avez bien fait vos devoirs, vous devez partir à l’avance pour éviter les imprévus.

Être motivé

Vous devez être poli et souriant vis-à-vis de tout le monde, même au portier. D’autant plus qu’un bonjour et un doux sourire ne vous coûteront rien. Faire une bonne impression est crucial lorsqu’on commence un travail. Néanmoins, la motivation doit aussi être au rendez-vous. Tout le monde au travail doit ressentir votre motivation au travail. Si vous avez réussi à convaincre les recruteurs durant les entretiens d’embauche, maintenant, c’est l’occasion de matérialiser ces belles paroles.

Se présenter à l’équipe

En tant que nouveau, vous devez vous présenter vous-même. En effet, tout le monde ne peut pas savoir qu’il y a un nouveau venu dans la boîte. Ce premier contact avec l’équipe vous apprendra beaucoup de choses. Certains vous conseilleront sur la conduite idéale à adopter dans l’entreprise. D’autres vous renseigneront sur les bons plans entre collègues. Bref, parler avec vos collègues vous sera plus que bénéfique.

Utiliser des plantes adaptogènes pour vaincre le stress

L’organisme réagit en trois étapes face au stress. D’abord, il y a la phase d’alarme traduite par une sensation d’anxiété, un trouble de sommeil et une augmentation du rythme cardiaque. Ensuite, il y a la phase de résistance pendant laquelle le corps s’adapte au stress. Elle se traduit par une baisse d’énergie. Enfin, il y a la phase d’épuisement où les symptômes deviennent de plus en plus forts et agressifs. Des maladies comme le diabète et des problèmes cardio-vasculaires peuvent apparaître. Sachez que les plantes adaptogènes ne soignent pas ces maladies. Elles aident seulement l’organisme à s’adapter au stress et renforcent le système immunitaire. Parmi ces plantes, il y a la rhodiolerosea, de véritable fortifiante, tonifiante et revigorante pour lutter contre les états anxieux. Le ginseng renforce l’organisme pour lutter contre la fatigue physique et intellectuelle. Une cure de trois mois divisée en trois semaines avec une pause d’une semaine est conseillée.

Utiliser des plantes anti stress pour gérer le stress

La valériane apaise la tension nerveuse, l’anxiété et améliore le sommeil. L’aubépine est un excellent antispasmodique. Il diminue les boules dans la gorge, les oppressions respiratoires et les palpitations cardiaques… les effets néfastes du stress. La melisse aide à atténuer la dépression légère et la nervosité. Enfin, la griffonia régule l’humeur grâce à ses vertus anxiolytiques. Pour rendre plus efficace le traitement à base de ces plantes médicinales, il faut avoir une excellente hygiène de vie, faire une activité physique régulière et adopter une alimentation équilibrée.